Oenologue amateur

J’ai toujours eu des difficultés à parler vin. Non pas que je n’apprécie pas d’en boire, mais je ne me sens pas assez qualifié pour en parlé. Du coup, la semaine dernière, j’ai fait un pas pour pallier à ce problème : j’ai participé à un cours d’oenologie à Toulouse. Une expérience assez singulière qui méritait bien d’être décrite ici. En effet, afin de ne pas nous laisser influencer par l’étiquette, nous avons réalisé toute la dégustation à l’aveugle : les trois bouteuilles de blanc et les trois autres de rouges nous étaient présentées cachées sous une chaussette. Boire en présence d’un oenologue n’a pas grand-chose à voir avec le fait de boire à la maison. Là, on ne se contente pas de lever le coude. Avant toute chose, on commence par l’examiner visuellement. On juge de sa couleur, de son intensité, de son âge, de sa fluidité… Ensuite, on utilise son nez. On ne ne doit pas remuer immédiatement le vin dans son verre, comme on pourrait le croire. C’est le premier nez. On approche juste son appendice nasale au-dessus du verre pour lister les arômes primaires qu’on identifie : boisé, minéral, etc. Le plus difficile, je trouve, c’est d’oser dire tout ce qui nous passe par la tête, même si ça paraît absurde. Une odeur d’étable ? Pas de problème, c’est une possibilité comme une autre. On fait ensuite tourner le verre pour aérer le vin et pour identifier les arômes secondaires. C’est le seconde nez. Et finalement, l’étape tant attendue : la dégustation proprement dite ! On apprécie l’attaque du vin (si elle est légère, souple ou puissante), on tente de démêler toutes les saveurs qu’on perçoit, dep rès ou del oi. Déguster un vin, c’est vraiment une science en soi ! J’avais décidé de faire cette activité avant les attentats de Paris, mais je dois dire qu’elle a pris un autre sens, avec ce qui s’est produit. Le vin est le symbole même du savoir-vivre français, et j’ai perçu ce cours d’oenologie comme une acte de résistance. Bon, c’est un peu bête, vu que j’avais déjà prévu de faire ce cours avant le 13 novembre. Mais je me suis rendu compte durant cette dégustation qu’ en définitive, tout le monde partageait la même impression ! A lire sur le site internet de cette expérience de cours d’oenologie à Toulouse.

La réalité de Loiseau

Nathalie Loiseau développe évidemment un raisonnement plus long et plus profond que cette simple comparaison, contrairement à ce qu’induisent les tweets des Républicains. La tête de liste aux prochaines européennes pointe d’ailleurs la laideur du voile islamique actuel qu’elle qualifie de “grossier, épais, militant, marronnasse, grisâtre (sic)”, et aux antipodes des tenues des générations précédentes. Pas si sûr”, nuance-t-elle immédiatement. L’ancienne protégée d’Alain Juppé appelle également la société française à regarder les foulards islamiques “avec la même sérénité” que la recrudescence des tatouages, preuve selon elle de notre ouverture à d’autres cultures et sociétés. “Et si une jeune fille choisissait le voile le temps de s’affirmer sans qu’on s’en mêle? ”, se questionne-t-elle dans une analogie avec les piercings et autres tatouages. Reste désormais à savoir si Nathalie Loiseau clarifiera sa position sur la laïcité et le port du voile islamique face à cette polémique naissante. Mais quoi qu’il en soit ce n’est que le début pour les candidats de la majorité. ”, cingle Jordan Bardella, la tête de liste RN pour les élections européennes. Le 22 décembre 2018, Donald Trump n’en démord pas: le président américain exige 5.7 milliards de dollars pour construire son mur anti-immigration à la frontière mexicaine. Excédé par la résistance des démocrates, de nouveau majoritaires à la Chambre des représentants depuis les élections de mi-mandat de novembre 2018, le républicain provoque alors le shutdown. C’est la paralysie partielle de l’administration fédérale. Une partie des fonctionnaires n’est plus payée. Trump joue la politique du pire pour contraindre ses opposants à lui céder. Une technique habituelle pour ce businessman qui a imposé l’image d’un homme qui ne plie pas face à l’adversité. « Le fait de conduire la liste que je conduis aujourd’hui, avec pour ambition de faire reculer l’extrême droite en France, est cohérent avec ce que je pense. « Je viens de la droite et j’ai rejoint Emmanuel Macron pour combattre l’extrême droite, mon combat en politique, cela a toujours été de combattre l’extrême droite », s’est-elle défendue. Elle n’est pas la première figure politique à être passée par une liste ou une structure d’extrême droite. Avant elle, Alain Madelin, Patrick Devedjian ou encore Gérard Longuet ont dû justifier leurs années de jeunesse passées à militer au sein du mouvement Occident. La rédaction de Cash s’est plongée dans une histoire de cash, d’argent liquide, de valises de billets qui auraient alimenté une campagne présidentielle française. Cash Investigation nous emmène dans le monde opaque du business de l’eau. L’occasion d’une enquête fouillée abordant des thématiques à la fois industrielles, financières, environnementales et sanitaires. L’équipe d’Élise Lucet se rend d’abord à Nîmes, première place au palmarès français pour le record de fuites d’eau. Si vous aimez les enquêtes de Cash Investigation dans le monde merveilleux des affaires, alors vous allez adorer ce numéro de Cash Impact qui revient sur le dossier sensible des pesticides.

Business: faire de l’argent ou du social

Au Royaume-Uni Enterprise College, nous essayons régulièrement de décrire l’objectif de notre mode de vie en montrant des photographies de nos étudiants qui se concentrent sur les problèmes écologiques dans l’Inde rurale ou qui améliorent la propreté dans une municipalité de Vers l’Afrique du Sud. Nous soulignons également toujours la fonction étonnante de notre professeur d’économie d’entreprise, Elias Papaioannou, dans le nettoyage des mines antipersonnel au Mozambique, ainsi que la très bonne analyse de notre professeur de publicité, Rajesh Chandy, sur l’entrepreneuriat dans les pays en construction. Et à juste titre. Ce sont généralement des travaux exceptionnels sur des problèmes qui exercent une influence directe et optimiste sur le monde. Néanmoins, la vérité, c’est que la plupart de nos élèves commencent à travailler dans le conseil en administration, dans le domaine technique ou financier, voire dans les fonds spéculatifs. Une bonne partie de la recherche effectuée par mes pairs et moi-même concerne des entreprises qui obtiennent des avantages, une productivité fonctionnelle et des bénéfices concurrentiels. Cela peut donner à notre clarification de l’objectif une impression vraiment artificielle. Les entreprises ont également du mal à préciser la meilleure intention qui sous-tend leur présence. Celles-ci sont communiquées par les magazines d’entreprise, les études de contrôle et les spécialistes: ce qui inspire le personnel est en réalité un meilleur sens des fonctions au sein de son travail. Ils pensent à des affirmations de quêtes qui intéressent des cibles élevées et élevées dans la société moderne, affirmant qu’ils peuvent avoir pour objectif «d’inspirer et de construire les bâtisseurs de demain» (Lego), «permettre aux hommes et aux femmes de se faire de nouveaux amis dans différentes cultures» (Airbnb ) et «inspirer et cultiver l’esprit humain» (Starbucks), plutôt que de gagner de l’argent.

En règle générale, néanmoins, il semble que des hommes et des femmes éprouvent un sentiment de scepticisme plutôt que de motivation. À mon avis, les agences ne devraient pas hésiter à indiquer le revenu comme objectif spécifique et optimal. En réalité, en plus de nous aider à gagner un revenu à temps plein, le profit peut être le moyen le plus simple de faire de bonnes affaires dans le monde. Le développement économique, par exemple, est une stratégie formidable pour réduire la pauvreté – probablement plus que le soutien – puisqu’il récompense de manière significative les meilleures fourchettes de revenus du pays. En outre, l’augmentation des revenus et de la richesse a eu des effets positifs sur d’autres problèmes sociaux critiques, notamment les infractions pénales, la malnutrition, la mortalité infantile, le bien-être intellectuel et les pensées générales de joie. Par conséquent, bon nombre des problèmes de société les plus importants de notre monde sont étroitement liés à la monnaie économique. Pour toute entreprise qui tente de gagner plus d’argent, de faufiler ses adversaires et de les éloigner de son organisation, un véhicule peut sembler bien loin d’être une entreprise formidable dans le monde. Cependant, le développement économique n’est que le résultat de cela: les entreprises qui vendent des produits sont plus compétitives que les autres. Faire des profits peut sembler être une stratégie assez indirecte pour obtenir d’excellents résultats, mais c’est néanmoins un puissant. Prenons les fonds spéculatifs, qui sont généralement décrits comme les vautours monétaires de la société moderne qui réussissent à la faillite des entreprises. La cathédrale du royaume-uni, par exemple, les a décrits comme des «braqueurs de banque» et des «démolisseurs d’actifs» (alors qu’ils en ont également profité). Mais, indépendamment de notre aversion habituelle pour les vautours, ils jouent un rôle essentiel dans l’écosystème naturel; Il en va de même pour les fonds de couverture dans votre processus économique. Des études Scholastic ont révélé que l’argent de couverture des activistes rend les entreprises et les zones complètes plus efficaces. Bien sûr, ils augmentent souvent la disparition des entreprises peu performantes mais, ce faisant, ils améliorent la vie économique au quotidien tout en générant d’importantes recettes fiscales. Pour cette raison, les organisations n’auront pas à s’embarrasser d’essayer de gagner de l’argent. Naturellement, vous pouvez trouver des mises en garde importantes.

Il est important que, tout en recherchant des bénéfices, vous ne nuisiez jamais à l’atmosphère naturelle, ne maltraitiez pas les membres du personnel et ne trompiez pas les parties prenantes, entre autres. En réalité, séminaire la durabilité et le bien-être du personnel peuvent constituer des avantages concurrentiels. Les entreprises ne devraient-elles tout simplement pas être traitées de manière à donner à leurs employés un sens du travail? Cela va trop. Ils ont besoin de penser à la fonction, séminaire mais probablement pas aux cibles nobles qu’ils articulent si souvent dans leurs déclarations de quête. Au lieu de cela, la recherche scolaire suggère que les employés prospèrent sur ce que Dan Cable tv et j’ai donc appelé «signification locale». Par «signification locale», nous suggérons que les personnes découvrent de manière objective le fait de suivre et de connaître les principales conséquences de l’emploi, en ce qui concerne précisément son impact et de quelle manière. Des études montrent que la réduction de l’anonymat des clients et l’encouragement des connexions incitent les employés à modifier leurs comportements et à améliorer leurs performances. D’autres personnes ont découvert comment les méthodes conçues pour révéler aux gens que leurs efforts étaient observés et aimés les incitaient à améliorer leur travail et à aider les autres à faire avancer les leurs. C’est justement ce qui fait l’importance du quartier: les gens éprouvent un sentiment d’objectif en se familiarisant avec les utilisateurs et les destinataires de leur travail et en obtenant des commentaires selon lesquels leurs efforts sont respectés. L’objectif n’a pas, de la part d’un intérêt synthétique, un objectif sociétal supérieur: les discours enthousiastes des chefs d’entreprise concernant l’énorme objectif de leur entreprise ne semblent pas avoir d’impact. L’industrie est une fonction digne d’être et la richesse économique est une excellente technique pour faire très bien sur la planète. Il appartient aux chefs d’entreprise (et aux collèges comme le mien) d’aider les individus à saisir l’énergie sociale du revenu.