Adria Air: nouvelle banqueroute dans l’aviation

Après Adria Respiration passages publiés le septembre. 23 mars 2019, suspendant brièvement ses voyages, votre situation a été assez sombre pour cette compagnie aérienne. À présent, la société slovène d’aviation civile (CAA) a pris la décision de ne jamais résilier les certificats d’opérateur d’atmosphère d’Adria (AOC). Le fournisseur de services peut continuer à voler environ toutes les semaines. Adria Airways a jusqu’au 2 octobre 2019, 23h59 (GMT 2) pour publier une décision de restructuration correcte pour la CAA, comme prévu sur la manière dont elle rétablira éventuellement une activité lucrative. Si le vol tombe en panne pour offrir les documents essentiels, il sera probablement mis fin à son AOC, ce qui mettra à la terre chaque avion exploité par Adria Airways. Les actionnaires de votre transport aérien pourraient avoir quelques jours avant, car plusieurs bailleurs ont précédemment annulé des contrats de crédit-bail en même temps que la société slovène en raison d’accords non payés. Il reste dix avions à Adria Breathing passages: une demi-douzaine de Bombardier CRJ900-LR et un certain nombre de Saab 2000. Le fournisseur de services de drapeau national de la Slovénie, Adria Airways, a annoncé que la compagnie aérienne ne commencerait probablement pas ses activités de transport aérien le septembre. 24 et 25 septembre 2019, tout simplement parce qu’il veut «l’accès à des revenus rafraîchissants dont le vol a besoin pour des opérations aériennes supplémentaires». Adria poursuivra ses voyages si une réponse peut être trouvée «en cohérence avec un investisseur potentiel», en fonction du transporteur aérien. Adria Air passages assurera simplement des vols aller simple de l’aéroport de Francfort (FRA) à Ljubljana, en Slovénie (LJU) et effectuera des arrières deux jours ou deux semaines. Le budget actuel, la reprise de l’avion, les privatisations infructueuses et la difficulté à rentabiliser le secteur en raison de circonstances défavorables dans le secteur suscitent moins d’inquiétude économique chez Adria Airways, tout simplement parce que ce dernier était censé annuler presque tous ses trajets deux fois. Il ne fait aucun doute que les fournisseurs de services localisés dans les pays européens luttent, en particulier ceux qui ne sont pas des filiales d’entreprises communautaires. Il y a quelques années déjà, le marché de l’aviation avait assisté à l’effondrement d’innombrables fournisseurs de pavillons desservant de petites zones d’Europe de l’Est, parmi lesquelles MALEV (Hongrie), Estonian Fresh Air (Estonie), Nordica (actuellement en lutte) et FlyLAL (Lituanie), Fresh Air. Lituanica. Il est encore incertain que la compagnie aérienne continue à voler. AeroTime a contacté les agents d’Adria Airways, n’ayant pas répondu à cette question. Les vols aériens sont priés de prendre leur envol le 26 septembre, mis à part une expérience de soirée annulée à l’avance de Ljubljana (LJU) à l’aéroport Ben Gurion (TLV) de Tel-Aviv (Israël), comme indiqué dans flightradar24.com info. Alors que le vol n’était toujours pas disponible pour vérification, Adria Air passages a annoncé qu’il continuait vraiment à monter en flèche. Cependant, il ne peut effectuer des vols que dans la direction de Ljubljana (LJU) – Aéroport international de Francfort (FRA) – Ljubljana (LJU), car il s’agit de « son centre le plus crucial ». La société slovène continue de discuter d’un accord avec des acheteurs potentiels ou d’importantes sociétés de prêt qui pourraient faire de l’avion une bouée de sauvetage, les opérations d’Adria « continuant à être spécialisées dans la recherche d’une alternative positive pour tous ceux-là ». Les voyageurs, qui ont été nommés pour prendre l’avion avec l’avion, sont invités à vérifier la position de leur vol avant de se rendre au terminal de vol.

La prudence de Ryle

Dans sa fonction bien connue L’idée de l’esprit, Ryle s’intéresse aux problèmes soulevés par le dualisme cartésien. Le dualisme maintient que le corps et l’esprit sont des substances distinctes, un seul matériau, un autre immatériel en conséquence. À proprement parler, les propriétés mentales ne peuvent être attribuées qu’à ces derniers et les attributs physiques au premier type de composé. Cela permet de gravir plusieurs problèmes, dont le caractère de l’interaction causale entre le corps et l’esprit, l’identité personnelle et l’individuation des «esprits», pour n’en citer que deux. Cette séparation évidente du cerveau distinct mais immatériel qui habite un corps de matériaux, Ryle phone appelle le mythe du «fantôme dans la machine» et, insiste-t-il, repose sur «l’erreur de catégorie». Les erreurs de groupe ne se produisent généralement pas seulement dans le discours philosophique, mais peuvent apparaître dans des contextes très ordinaires. Par exemple, imaginez des élèves qui conduisent ses mères et pères à propos de son université ou de son collège. Il leur fait la démonstration de la Collection, de la création de la faculté, de l’Union des étudiants, des services sportifs, etc. jusqu’à ce qu’ils aient fait le tour du campus. Supposons maintenant que les parents disent: «oui, ce sont de belles propriétés, mais quand commencerons-nous probablement à voir l’université?». De toute évidence, les parents ont mal compris l’idée d’une «université». Ryle affirme que leur erreur réside dans le fait de penser que «« l’Université »avait une personne supplémentaire dans la classe dont ces autres modèles sont membres» plutôt qu’un terme qui décrit «la façon dont tout ce qu’ils [ont pu] voir précédemment est Ryle pensa alors que la pensée que votre esprit était une organisation distincte mais non réelle avec des qualités non réelles distinctes n’était que ce genre d ‘«erreur de catégorie». Dans ce cas, la grosse erreur vient de supposer que votre cerveau ou vos attributs mentaux peuvent être réalisés dans des conditions physiques réelles faibles. Comme le dit Ryle de manière experte, le concept de l’esprit comme non physique est définitivement identifié en mauvais termes physiques, à faible espace, non observable, ni en mouvement ni au repos.

Déveloper des avions civils et militaires

L’USAF lance alors le programme CX-HLS qui va déboucher le 30 juin 1968 sur le premier gros-porteur militaire, le Lockheed C-5 Galaxy. Pour répondre au cahier des charges du programme CX-HLS, les avionneurs devaient disposer de turboréacteurs de 14 à 18 tonnes de poussée. De tels réacteurs n’existant pas, General Electric et Pratt & Whitney développent grâce aux budgets militaires du Pentagone une nouvelle génération de réacteurs, les réacteurs à double flux et à fort taux de dilution. Pour ne pas rester en reste, le britannique Rolls-Royce lance également le développement de son propre réacteur sur fonds propres. Ces réacteurs, aussitôt utilisés pour le transport civil, ont permis la fabrication d’avions de ligne gros-porteurs. En janvier 1970, est mis en service le quadriréacteurs Boeing 747 de 490 à 550 sièges équipé du réacteur Pratt & Whitney développé pour le programme CX-HLS. En août 1971 est mis en service le McDonnell Douglas DC-10 de 380 sièges équipé par General Electric.

Les 787 d’Air Austral font-ils partie des 787 équipés de moteurs Rolls-Royce impliqués ou d’autres moteurs? De toute façon en lisant ce qui suit il y a eu beaucoup de problèmes sur ces avions. Quel est ce nouveau problème avec le Boeing 787 ? Les autorités américaines ont enjoint le constructeur à effectuer une modification « urgente » sur des moteurs General Electric. Ils sont susceptibles de s’arrêter en plein vol. Cette nouvelle ne va pas rassurer les phobiques de l’avion. Le Boeing 787 fait face à un nouveau problème grave. A tel point que les autorités américaines demandent à l’avionneur Boeing d’intervenir de façon « urgente » sur des moteurs General Electric (GE) équipant des appareils 787. La raison : ils sont susceptibles de s’arrêter en plein vol. Ce n’est pas la première fois que ces engins sont touchés par des soucis techniques. Retour sur ce nouvel incident et les précédents. Le 29 janvier, un des deux moteurs d’un 787 de Japan Airlines, de modèle GEnx-1B PIP 2, s’est arrêté soudainement alors que l’avion volait à 20 000 pieds (6 096 mètres) d’altitude. Hajin, Syrie. Dans cette petite ville de l’est du pays se trouve vraisemblablement le dernier bastion du groupe Etat islamique. Depuis trois mois, les Forces démocratiques syriennes, essentiellement composées de Kurdes et appuyées par la coalition internationale, mènent une offensive. Ce 16 décembre s’est soldé par une victoire : la reprise du centre-ville. Une avancée permise en partie grâce à l’Armée de l’air française. Présent sur place, France Info parle de plusieurs décollages de Rafale par jour dans le cadre de l’opération Chammal, depuis une « base aérienne projetée quelque part en Jordanie » à « moins d’une demi-heure du lieu des combats ». Grâce à ce poste avancé, la coalition a à sa disposition sept drones, six avions de chasse et un bombardier pouvant rapidement se déployer sur une zone d’environ 350 km². Parmi les avions, on compte quatre Rafale français qui utilisent des bombes de 250 kg. Des images sont à avoir dans la vidéo de France Info ci-dessous. Mais l’avancée reste encore assez laborieuse. Les derniers éléments de Daesh sont des combattants aguerris, qui se servent de tunnels et des mauvaises conditions météo, comme les tempêtes de sable, pour échapper aux moyens d’observation. Une technique qui leur a permis de regagner un peu de terrain lors d’une contre-attaque le 17 décembre, a rapporté RFI. Défaite après défaite, le groupe terroriste devient de plus en plus clandestin. Il reste cependant présent dans le sud de cette zone, et dispose encore de ressources suffisantes pour lancer des attaques.

Les tuyères 14 : une couronne de petits volets appelée « AJ » permettant par leur mouvement de modifier la section de sortie de la tuyère. Ce dispositif est destiné à augmenter la pression pour accélérer la vitesse des gaz, donc augmenter la vitesse de l’avion particulièrement en supersonique. Ces volets sont commandés par des vérins pneumatiques dont l’ordre d’ouverture ou de fermeture est émis par le calculateur de poussée (TCU) au travers d’un moteur électrique (PNT) commandant un servomoteur à gaz (PNC). Les tuyères 28 : deux coquilles mobiles sur chaque moteur sont installées à l’extrémité de la tuyère. Ce sont les inverseurs de poussée utilisés comme système d’appoint au freinage des roues et comme ralentisseur de vitesse dans la phase de retour en subsonique. C’était l’un des rares avions à utiliser les inverseurs en vol. Ces coquilles servaient aussi à moduler le flux du réacteur. Ces inverseurs sont actionnés par un moteur pneumatique commandé par la manette inverseur de poussée situé en avant des manettes de poussée au poste de pilotage. Ce n’est qu’après cette éventuelle nouvelle mission que le Charles-de-Gaulle sera immobilisé pour une « Indisponibilité Périodique pour Entretien et Réparations » (IPER), c’est à dire une opération de maintenance qui doit durer 18 mois. Aussi, vol l39 il reste à voir ce que feront les pilotes de l’aéronautique navale pendant cette période. Mais, a souligné le contre-amiral Crignola, « apponter n’est pas un sport de masse (…) Il faut maintenir ce savoir-faire ». Et d’ajouter, rapporte l’AFP, qu’un « projet d’embarquement d’appareils (français) à bord de porte-avions américains » est à l’étude. Voir des Rafale sur un porte-avions de l’US Navy ne serait pas une première. Dès 2005, des appareils de ce type ont commencé par faire des série de touch and go sur les USS Dwight D. Eisenhower et USS John C. Stennis. Puis, en 2007, ils ont apponté avant d’être catapultés depuis l’USS Enterprise. En clair, la recherche d’une meilleure interopérabilité entre moyens français et américains aura été constante au cours de ces dernières années. Enfin, en décembre 2013, un F-18 a ravitaillé en vol un Rafale M et un Super Étendard lors d’un exercice dans le golfe arabo-persique. Par ailleurs, le contre-amiral Crignola a également fait le bilan des quatre derniers mois d’opérations du groupe aéronaval français. Outre le renforcement de la coopération avec les forces navales alliées (et en particulier avec l’US Navy), le groupe aéronaval a aussi mené des missions de renseignement, notamment en Libye, comme l’avait d’ailleurs révélé l’Élysée. ] depuis les espaces internationaux, à l’aller et au retour, sur les points d’intérêt en Méditerranée et ailleurs, en Libye et ailleurs », a déclaré le contre-amiral Crignola. « Le groupe aéronaval a aussi recueilli du renseignement en mer Rouge ainsi que dans les golfes d’Aden et Oman », a-t-il ajouté. C’est à dire au Yémen, où est notamment implantée l’organisation al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA).

Autrement dit, passer à l’industrie indienne ou investir sur place des sommes correspondant à la moitié de ce que paiera l’Inde. Pendant plus de trois ans, des discussions d’une complexité épouvantable sont menées par Dassault avec ses interlocuteurs indiens. Il s’agit de mettre en place de toutes pièces avec HAL une chaine susceptible de monter un chasseur ultrasophistiqué. HAL en est-il capable? Le camp français s’interroge. Dans l’aéronautique européenne, on rit encore des début de HAL comme fournisseur de portes d’Airbus: les premiers temps, ces portes étaient systématiquement mises au rebut car non conformes (avant qu’un vigoureux programme d’assistance technique ne règle la question). Confronté à la perspective d’un tête-à-tête difficile avec le groupe public, Dassault crée une joint-venture avec le grand groupe industriel Reliance Industries et tente d’y faire loger une partie de la responsabilité de la fabrication des Rafale. Simultanément, Dassault, Safran et Thales s’attèlent à une tâche monumentale: construire les partenariats avec des entreprises indiennes susceptibles de leur permettre de respecter leurs engagements en matière de transferts de technologies et de compensations. Toutes choses «possibles mais longues et compliquées».

Il est de plus un symbole de fierté nationale pour beaucoup de gens au Royaume-Uni et en France — étant généralement considéré en France comme un avion français, et au Royaume-Uni comme un avion britannique. La vitesse et les horaires de Concorde (départ à 11 h de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle et arrivée à 8 h 45 à l’aéroport John-F. ]. Dans des moments critiques pour la paix dans le monde (Yougoslavie et guerre du Golfe), les diplomates et Kofi Annan, ex-secrétaire général de l’ONU, ont utilisé le Concorde dans les deux sens. De plus, le passage des chefs d’État et diplomates à Paris pour prendre le Concorde était l’occasion d’une visite au locataire de l’Élysée avant de s’envoler vers leur destination finale. En 1991, François Mitterrand a utilisé le Concorde pour se rendre en Arabie saoudite quelques jours avant la guerre du Golfe afin de rencontrer le roi et de soutenir les troupes françaises stationnées dans le Royaume. La réaction des riverains contre la perspective d’importantes nuisances sonores dues aux vols a aussi représenté un changement social important. Dénivelé : Dur à dire car avec les petits détours que nous avons fait pour voir des points de vue. La randonnée est vraiment facile! De plus si la fatigue se fait sentir vous n’êtes pas obligés de monter sur le Dosse ou encore le Rotstock. Pour arriver à Rigi Scheidegg le plus facile est de se rendre à Arth Goldau en train. De là un petit train vous conduira jusqu’à Kräbel, puis une télécabine vous mènera de Kräbel sur Rigi Scheidegg. Pour le retour on vous conseille de prendre le train qui part de Rigi Kulm en direction de Vitznau et de faire le retour en bateau (voir la randonnée du Vitznauerstock plus haut pour plus d’informations). Last but not least ! A la base nous ne pensions pas que nous monterions un jour sur le Pilatus, ou du moins pas en cabine ! Mais récemment nous avons gagné un concours avec Swiss et avons eu le plaisir d’emmener 4 filles de Singapour à la découverte de la Suisse. L’occasion était trop belle ! En fait à la base nous voulions monter, mais l’idée était de monter à pied !

MiG ou la saga de l’aérien soviétique

Les premiers avions MiG étaient des chasseurs à hélice créés en nombre modéré pendant la Seconde Guerre mondiale. Le MiG-9, qui a volé pour la première fois en 1946, ne fait rien d’autre que d’appliquer la propulsion par jet à la cellule de votre générateur de piston; Cependant, le MiG-15, construit avec des ailes en flèche basées sur la recherche allemande en temps de guerre et fonctionnant avec une copie de n’importe quel moteur Moves-Royce, vol en Mirage est devenu l’un des meilleurs au début des chasseurs à réaction. Cet avion monomoteur à chaise solitaire a été piloté en 1947 et a été largement dépassé pendant la guerre de Corée. Un modèle accru, le MiG-17, piloté pour la première fois en 1950, a partagé sa maniabilité et a été utilisé comme intercepteur défensif par le nord du Vietnam dans la guerre du Vietnam dans les années 1960, de sorte que comme chasseur-bombardier par l’Égypte et la Syrie dans les pays arabes. Bataille israélienne de 1973. Les moteurs jumelés ont fait du MiG-19, d’abord piloté en 1953, le tout premier chasseur supersonique mma de marque occidentale, mais il a été dépassé en 1955 grâce au MiG-21, un intercepteur léger et générateur individuel capable de planer à deux fois la vitesse du son. L’édition fondamentale, qui a rejoint les services en 1958, était un chasseur mma de jour facile et à bas prix, très maniable, simple à entretenir et capable de travailler à partir d’aérodromes non améliorés. Il était devenu le principal intercepteur d’altitude substantielle utilisé par le nord du Vietnam, et l’augmentation des types a créé la base des facteurs de l’atmosphère arabe au cours des années 70. Le MiG-23, qui a rejoint les services productifs en 1972, comportait une aile à balayage réglable conçue pour améliorer l’efficacité à de nombreuses vitesses et altitudes. En outre, il a publié une unité de détection numérique électronique et des techniques d’alerte d’une élégance croissante qui ont permis aux chasseurs MiG successifs de trouver et d’attaquer des avions à de plus grandes portées et en opposition aux gains radar brouillés de votre sol. Un modèle d’attaque du sol du MiG-23, avec cockpit blindé et beaucoup plus de détaillants d’armes, a été appelé MiG-27. En réaction aux tests américains avec des bombardiers supersoniques à haute altitude, le MiG-25 a été fabriqué vers 1960. Lancé en 1970, cet intercepteur bimoteur, l’avion de combat le plus facile actuellement en service énergique, indiquait Mach 2,7 et deux. 8, avec un toit fonctionnel mentionné précédemment de 24 400 m (80 000 pieds). Ces compétences l’ont également rendu utile pour la reconnaissance. Le MiG-31, un intercepteur à deux sièges lancé en 1983, dépend du MiG-25 mais est modifié pour moins de rythme et de bien meilleures performances globales à des altitudes plus basses. Le MiG-29, initialement fonctionnel en 1985, est un chasseur mma air-air à deux moteurs à siège individuel qui peut également être utilisé pour les assauts au sol. Des versions de la plupart des avions MiG autres que le MiG-23 et le MiG-25 ont également été fabriquées en dehors de l’Union soviétique, notamment en Extrême-Orient, en Pologne, en Tchécoslovaquie et en Inde.

Ecosse: moins de neige sur les sommets

Le plateau de Cairngorm est le genre de condition que les passionnés d’hiver espèrent L’hiver en Écosse évoque des images des montagnes enneigées qui attirent chaque année les visiteurs en masse pour la marche, l’escalade et les sports de neige. Mais les passionnés disent avoir remarqué une différence ces dernières années, avec un temps plus doux entraînant moins de neige. Quelles ont été les conditions cet hiver? Il a neigé cette année et devrait le faire à nouveau lorsque la tempête Ciara frappera l’Écosse dans les prochains jours, mais beaucoup de ce qui est tombé a fondu en dégel ou a été enlevé par des vents forts. Ben Dolphin, président de Ramblers Scotland et passionné de marche hivernale, a déclaré qu’il n’était pas inhabituel que les conditions varient d’une année à l’autre sur les collines. Mais il a ajouté: « Je ne connais aucun passionné d’hiver écossais qui se sentirait à l’aise avec ce qui s’est passé au cours des deux dernières années, ou qui penserait que ces hivers s’inscrivent dans le schéma » normal « des hivers doux et froids. « Ce n’est pas seulement le manque de neige, ce sont les températures nocturnes élevées, la longévité et la persistance de conditions météorologiques clémentes. » Copyright de l’imagePaul Noble / SAIS Cairngorms du Sud Légende de l’image Un lièvre d’Amérique dans son manteau d’hiver à l’air exposé sans couverture de neige dans les Cairngorms du sud en décembre Il a dit que l’air chaud était aspiré des Açores pendant des semaines à la fois. « Ces derniers hivers se sentent différents. Je suis venu ici beaucoup au fil des ans, toujours en janvier ou février, et je ne l’ai jamais vu aussi sans neige que ça. » Lee Schofield, de Highland and Islands Weather, offre des observations météorologiques gratuites aux touristes visitant les Cairngorms. Il a déclaré que les températures dans son village natal de Carrbridge étaient 3,5 degrés plus élevées le mois dernier qu’en janvier 2019. « C’est une différence considérable et bien au-dessus de la normale que nous attendons », a-t-il déclaré. « Entre Noël et le Nouvel An, un panache d’air très chaud a balayé le nord-ouest et a établi un nouveau record de températures élevées en décembre pour le Royaume-Uni. » Qu’est-ce qui a causé ces conditions? Copyright de l’image SAIS Cairngorms du Sud Légende de l’image La scène dans les Cairngorms du sud plus tôt cet hiver Le Mountain Weather Information Service fournit des prévisions météorologiques pour aider à la sécurité des montagnes dans 10 régions des hautes terres du Royaume-Uni, y compris les West Highlands, Cairngorms et les Southern Uplands en Écosse. Le prévisionniste Garry Nicholson a déclaré que l’Écosse avait ressenti les effets des fluctuations des masses d’air entre les sud-ouest maritimes tropicaux plus doux et les nord-ouest maritimes polaires plus froids. Cela a entraîné des cycles de gel et de dégel pendant l’hiver. « Il y a eu de longues périodes de conditions sous zéro sur les montagnes écossaises avec des chutes de neige, mais il y a également eu des épisodes de températures beaucoup plus chaudes et un dégel marqué », a-t-il déclaré. « Dans l’ensemble, nous avons manqué de périodes d’air froid prolongé, et bien qu’il y ait eu de la neige, nous avons manqué de chutes de neige et de consolidation vraiment importantes à travers les collines. » Copyright de l’imagePaul Noble / SAIS Cairngorms du Sud Légende de l’image Ben Dolphin s’inquiète pour la faune «spécialiste de l’hiver» comme le lagopède La cause remonte au vortex polaire, qui a été fort cette année. « Les vents d’ouest autour du cercle arctique ont été plus constants, ce qui n’a pas permis aux lobes de l’air arctique de s’échapper dans les latitudes moyennes comme cela peut parfois être le cas », a déclaré M. Nicholson. « Bien que les conditions météorologiques de cet hiver fassent partie de la variabilité naturelle au-dessus de l’Atlantique Nord, ces » hivers d’ouest « ont été généralement plus courants au cours des deux dernières décennies à mesure que les températures mondiales ont augmenté. » Il a dit qu’il y avait eu quelques exceptions notables, comme en 2010, 2013 et plus récemment en 2018, lorsque la Bête de l’Est a apporté des températures basses et de fortes chutes de neige. Quel est l’impact des hivers plus doux? Copyright de l’image SAIS Lochaber Légende de l’image Il semble doux, mais les risques hivernaux de montagne demeurent comme le montrent ces débris d’avalanche sur Ben Nevis en janvier Mountaineering Scotland, qui représente les intérêts des grimpeurs, des marcheurs et des skieurs, prévient que les conditions ne devraient pas donner aux visiteurs des collines écossaises un faux sentiment de sécurité. Il exhorte les gens à vérifier les prévisions météorologiques de montagne et les évaluations des risques d’avalanche – environ 40 avalanches ont été enregistrées par le Scottish Avalanche Information Service cette saison. Il recommande aux gens de porter des piolets et des crampons, ainsi que des vêtements appropriés pour les changements brusques de temps. « L’hiver est toujours une saison capricieuse dans les montagnes écossaises, et les conditions idéales sont souvent insaisissables et de courte durée – et certainement difficiles à prévoir à long terme », a déclaré un porte-parole. Copyright de l’imageGetty Images Légende de l’image L’Écosse a connu des conditions plus froides à l’hiver 2013 Les stations de ski de montagne d’Écosse ont dû investir dans des usines d’enneigement pour essayer de garantir les sports de neige sur les pentes inférieures. Près de 100 tonnes de neige ont été produites artificiellement chaque jour pendant plus d’un mois à Cairngorm Mountain, près d’Aviemore, en prévision du début de sa saison d’hiver en décembre. D’autres stations de ski de montagne, dont Nevis Range près de Fort William, ont également investi dans du matériel d’enneigement. Le temps plus chaud a également conduit à la fermeture ce week-end du Cairngorm Sleddog Center à Aviemore après 20 ans. Alan Stewart, qui gère le centre avec sa famille, a déclaré que cela était dû au manque de neige et aux températures plus élevées. Pour des raisons de bien-être, il ne fait pas courir les chiens de traîneau à des températures supérieures à 10 ° C. « Ce n’est pas sorcier », a-t-il dit. « C’est le changement climatique. » Copyright de l’image Alan Stewart Légende de l’image Alan Stewart dit que des températures plus élevées et un manque de neige ont affecté son entreprise de chiens de traîneau Il a ajouté: « La température est la chose principale. Cela a commencé à devenir un problème il y a cinq ans – il n’y a pas de neige, seulement de la neige fondue et de la pluie, et les sentiers n’ont jamais la possibilité de se dessécher. » Des inquiétudes ont également été exprimées concernant l’impact des hivers doux sur l’environnement. Les tiques, qui peuvent propager une infection nuisible aux humains, sont apparues au début de février dernier en raison du temps chaud. Les arthropodes commencent généralement à émerger en mars. M. Dolphin, qui travaille comme gardien de campagne, a déclaré qu’il était également possible de voir plus de maladies des arbres et de pressions sur la faune montagnarde. « Cela signifie sans aucun doute que nos spécialistes hivernaux comme le lagopède sont poussés dans les collines avec la neige et certaines espèces de plantes ou de mousse qui dépendent des plaques de neige d’été pour leur survie à long terme, disparaissent complètement », a-t-il déclaré.